Le point culminant du « Kishiwada Danjiri Festival » est la scène appelée « Yarimawashi », où le danjiri accélère à toute vitesse et change de direction à l'approche d'un virage.

Environ 500 personnes tirent un danjiri.

Il y a « Nakimono » qui joue des tambours et des flûtes en montant sur le danjiri, « Tsunaka, Tsunamoto » qui tirent la corde du danjiri, et « Tsunamoto » qui jouent le rôle dangereux de faire fonctionner le danjiri en utilisant l'avant. Il est divisé en « levier avant » et « levier arrière » qui change de direction depuis l'arrière.

Au sommet du toit se trouve une personne appelée charpentier, qui tient un éventail dans chaque main et est chargée de communiquer les progrès réalisés.

Ils maintiennent les fans au sommet du Danjiri et exécutent des performances telles que « Airplane Riding » et « Nihen Jump » pour fasciner les spectateurs.

Cela demande du courage et du génie et peut être considéré comme la star du festival Kishiwada Danjiri.

Et comme tant de gens changent la direction du danjiri géant, qui pèse plus de 4 tonnes, d’un seul coup, tout le monde doit bouger à l’unisson.

Contrairement au cas où une voiture prend un virage, elle se heurte à un carrefour à angle droit (carrefour) unique aux villes fortifiées à grande vitesse et tourne, de sorte qu'un faux mouvement peut conduire à un accident grave.

Parce que c'est un moment très tendu, les officiels donnent parfois des avertissements stricts aux spectateurs qui entrent accidentellement sur le parcours Danjiri et attendent.

C'est peut-être pour cette raison qu'on dit parfois que le festival n'est pas tendre avec les spectateurs, mais c'est précisément parce que c'est un festival où des vies sont en danger.

Une belle courbure est le meilleur sens esthétique du danjiri de Kishiwada, et c'est aussi la plus belle scène.

Ils quittent Kishiwada et ne reviennent pas pour Obon et le Nouvel An, mais ils reviennent pour les festivals, et ils participent généralement aux festivals même s'ils vivent dans les villes environnantes.

Apparemment, des gens comme ça ne sont pas rares à Kishiwada.

Bien entendu, tous ceux qui y vivent ne participent pas au Danjiri et la participation est facultative.

Cependant, lorsqu'il s'agit de participer, il rejoint le groupe de jeunes en tant qu'élève du secondaire et passe ses journées bien remplies toute l'année avec des activités telles que des rassemblements et des répétitions d'instruments de musique.

Surtout de la fin d'Obon jusqu'au festival en septembre, c'est une période chargée où tout le monde doit se préparer chaque jour, donc ils s'absentent parfois du travail pendant une semaine avant et après le festival.

En raison de cette situation, certains employés de bureau finissent par quitter leur emploi parce qu'ils ne peuvent pas s'absenter de leur travail le jour du festival.

Certaines personnes peuvent se demander : « Qu'est-ce que le droit de s'absenter du travail pour un festival ? », mais à Kishiwada, la réponse est le contraire : « Pourquoi ne puis-je pas m'absenter du travail pour assister à un festival ? ?"

Les rituels locaux appelés festivals sont importants dans cette région, et il n'y a pas de festivals au cours de l'année, mais plutôt une année dédiée aux jours de fête.

Effectuer des rituels communautaires était autrefois monnaie courante au Japon, mais à mesure que les modes de vie et les valeurs évoluaient, cela est devenu de plus en plus difficile.

Kishiwada est une région qui continue de chérir les rituels communautaires sous forme de festivals.

Le « Festival Kishiwada Danjiri » est considéré comme « le festival le plus dangereux du Japon », et seul son courage est souligné, mais cet aspect ne représente qu'une petite partie du festival.

Le festival Kishiwada Danjiri possède un charme profond qui ne peut être exprimé par des mots.

Par exemple, à l’heure actuelle, de nombreux festivals célèbres investissent de l’argent publicitaire et se concentrent sur leur présentation comme des événements destinés à attirer les touristes, mais ils tracent une ligne dans le sable en traitant les festivals comme des « rituels communautaires » pour leurs propres objectifs. continuer à le faire.

En plus de tirer les chars Danjiri, c'est aussi un « véritable festival » où des rituels sacrés liés aux festivals Danjiri ont lieu tout au long de l'année.

Danjiri est également un événement amusant associé aux rituels shinto, et est également le produit de la recherche continue par les citadins d'une « forme de plaisir », ignorant le calcul du boulier.

En particulier, le « Festival Kishiwada Danjiri » est un événement sacré qui se déroule depuis des centaines d'années.

Tout en perpétuant cette tradition, il semble que le Hiki continue d'évoluer aujourd'hui, c'est donc un festival attractif qui continuera à se développer à l'avenir.

La nuit à Yoimiya et Hongu, des chars Danjiri décorés de nombreuses lanternes parcourent lentement la ville pendant le festival « Toire Hikiko ».

On dit que ces lumières de fête sont les restes de feux de jardin allumés pour accueillir les dieux.

Il y a une atmosphère de festival élégante qui est différente de la nature tendue et courageuse de la journée, et vous pouvez ressentir la tranquillité du festival.

Le « Festival Kishiwada Danjiri » a une beauté différente de cette image et l'essence des festivals japonais qui a disparu des autres festivals.